High-pressure puncture testing of HDPE geomembranes

R.W.I. Brachman, H. Ifran, R. Kerry Rowe

Dans les comptes rendus d’articles de la conférence: GEO2011: 64th Canadian Geotechnical Conference, 14th Pan-American Conference on Soil Mechanics and Geotechnical Engineering, 5th Pan-American Conference on Teaching and Learning of Geotechnical Engineering

Session: Mining and Rock Mechanics

ABSTRACT: Geomembranes are used to line the base of heap-leach pads used in copper and gold mineral extraction. Preliminary experimental results are reported to quantify the puncture resistance and short-term tensile strains induced in a 1.5-mm-thick high-density polyethylene geomembrane when buried beneath simulated heap leach materials and subjected to vertical pressures of 2000 kPa for 100 hours. For the particular materials tested, many holes were developed in the absence of any protection layer. A 540 g/m2 nonwoven needle-punched geotextile protection layer was able to prevent short-term puncture of the geomembrane, but it was ineffective at limiting tensile strains as the short-term tensile strains exceeded the upper bound of proposed allowable limits by a factor of nearly 5.

RÉSUMÉ: Géomembranes sont utilisés pour la ligne de la base de tas-leach coussinets utilisés dans l'extraction minière d'or et de cuivre. Résultats expérimentaux préliminaires sont signalés à quantifier la résistance de la ponction et à court terme souches traction induites dans une géomembrane de polyéthylène haute densité de 1,5 mm d'épaisseur quand enfouis sous des tas simulées lixiviation de matériaux et soumis à des pressions verticales de 2000 kPa pour 100 heures. Pour les matériaux particulières testés, plusieurs trous ont été développés en l'absence d'une couche de protection. Une couche de protection géotextile non tissé aiguilletés de 540 g/m2 a été en mesure d'empêcher une ponction à court terme de la géomembrane, mais il est inefficace à limiter les souches de traction comme les souches de traction à court terme a dépassé la limite supérieure des limites admissibles proposées par un facteur de près de 5 ans.

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