Application of a cellular stress transfer model for retrogressive landslides

Andrew Mitchell, Siobhan Whadcoat, Scott McDougall, Michael Porter, Sarah Gaib

Dans les comptes rendus d’articles de la conférence: GeoEdmonton 2018: 71st Canadian Geotechnical Conference; 13th joint with IAH-CNC

Session: Landslides and Geohazards I (Translational Landslides)

ABSTRACT: The upslope growth of retrogressive landslides is generally difficult to model. A cellular stress transfer model is a deterministic, numerical model that operates on a grid, and allows the patterns and underlying mechanics of movements to be explored using a reduced complexity approach. The model is time-dependent, which allows stress to transfer between cells, thereby allowing the system behaviour to be driven by spatial interactions over time. Once a cell reaches peak stress, a decrease to residual stress is simulated, and stress is transferred to surrounding cells. An initial demonstration of this model has been completed using data from Ten Mile Slide, British Columbia. The change in surface topography found through airborne LiDAR scanning change detection analysis was compared to the patterns of residual strength cells from the cellular model analysis. It was found that the model is generally able to reproduce observed patterns of slope damage and displacement.

RÉSUMÉ: La rétrogression des glissements de terrain est difficile à simuler. Un modèle cellulaire de transfert du stress est un modèle numérique et déterministique qui mécanisme du mouvement transfert du stress entre les cellules est fonction du temps, donc le stress est réduite à une valeur résiduelle, et le stress est redistribué aux cellules voisines. Le modèle a été initialement déterminé avec des données obtenues à Ten Mile Slide, en Colombie Britannique. Les modifications de la topographie mesurées par analyses du changement sur la base de nuages de points de LiDAR aérienont été comparées aux cellules de résistance réduites du modèle. Le modèle est génééplacements observés

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